Les signes cliniques
La dermatite atopique
de l’adulte
Moins de 10% des DA persistent au-delà de l’adolescence.
Le visage et les mains sont les plus atteints,ce qui rend
la pathologie affichante et détériore la relation sociale
Ces eczémas persistants sont les plus préoccupants.
Ils justifient toujours une prise en charge spécialisée, d’avoir recours aux immunomodulateurs topiques tels que le tacrolimus (à appliquer après l’émollient) et parfois
à des traitements généraux tels que les immunosuppresseurs (cyclosporine et Methotrexate et/ou photothérapie)